En 1754, Coquard, avocat au Parlement, publie à Dijon ses poèmes en deux volumes. Le brouillon de ce livre, entré par achat aux Archives départementales en 2013, est intéressant car on y trouve quantité de poèmes non retenus pour l’édition.
La forme de l’épigramme est naturellement empruntée à Martial, poète latin du Ier siècle plein de sel (et de poivre…). Poème bref, de quelques vers, l’épigramme va droit au but pour dénoncer les travers du temps et des contemporains.
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Sur un prédicateur plagiaire Sans hésiter, père Magloire |
Contre un financier Des deniers du public, Harpin, voleur insigne, |
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Succession d’un prodigue Vous êtes curieux d’apprendre |
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