Hure de saumone, gravure tirée de Pierre Belon, De aquatilibus, Paris, Charles Estienne, 1553. |
La chartreuse et l’abbaye Saint-Bénigne sont unies par une « association spirituelle » : les bénédictins et les chartreux prient les uns pour les autres. Ils se retrouvent parfois pour des occasions conviviales. Les archives de Saint-Bénigne ont conservé les dépenses faites pour ce « dîner » de Carême, que les chartreux sont allés prendre chez leurs voisins. Au menu : brochets, carpes, tanches, harengs blancs, saurets, « hures » de saumon, marsouin, salade de laitue, riz au lait, gaufres, épinards, vin blanc et vin clairet, pâté de carpes et beurre frais.
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20 mars 1589
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