Quand les chartreux habitaient la Chartreuse (page 4/23)
Un chartreux caché dans une lettre

 

 

 

Les trois maisons médiévales au coin des rues Bossuet et de la Liberté (avant leur piétonisation).

Le nom de la pharmacie perpétue le souvenir de la maison du Miroir, qui se trouvait en face.

 

Le « manuel » (récapitulatif) des recettes de la chartreuse pour 1439 représente, sur sa première page, le buste d’un religieux en habit, la tête coiffée de son capuchon, ornant l’initiale P.

Jehan Dast, orfèvre, et Symonette sa femme doivent 6 florins de cens (location) aux chartreux à cause de leur maison dite l’hôtel du Croissant, entre la maison de M. de Bretenières et « l’ostel du mireur », c’est-à-dire le coin du miroir, à l’angle des actuelles rues des Godrans et de la Liberté à Dijon. Le cens est payable par moitié à Noël et à la Saint-Jean (24 juin).

 

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1439-1440

46 H R 1902

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