La chasse à la loutre, 1892. Lithographie d’après un tableau de L. Beckmann (1876). |
En 1843 est aménagé et empoissonné le vivier. Il s’agit, grâce à des grilles, d’empêcher les loutres, qui « mangeaient le poisson de Mme Crétet », d’y pénétrer. Mais que vont manger carpes, brochets, tanches, perches et truites ? M. Dupuis, marchand de poisson faubourg de Raines, fournit son expertise le 19 novembre : « Il pense qu’il y a avantage à ce que les lieux d’aisance se dégorge (sic) dans la pièce d’eau par les aqueducs, que les poissons y trouvent un bon aliment et que les marchands ont coutume de jeter dans leurs réservoirs des paniers de fumier ».
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5 XX 4, dossier « Vivier »
1843
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