Guynemer, un as pour parrain (page 4/21)
Portraits

 

 

 

 

Georges Guynemer d’après un portrait posthume exécuté en 1919 par le peintre J. Cousins Lawrence et conservé depuis par le musée de l’Armée (Hôtel national des Invalides, Paris).

Aquarelle de Philippe Mitschké (1931-2012), peintre officiel de l’air.

Dimensions sous cadre : 52 cm x 42 cm.

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

 

 

 

Georges Guynemer posant, la main droite dans la poche, devant son biplan SPAD baptisé « Le Vieux Charles ».

Aquarelle de Philippe Mitschké (1931­-2012), peintre officiel de l’air, exécutée d’après une photographie d’époque. 

Dimensions sous cadre : 56 cm x 44 cm.

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

 

 

 

S’il inspira de nombreux artistes, Georges Guynemer, symbole des ailes françaises, inspira également l’administration pos­tale qui, le 12 octobre 1940, émit un timbre d’une valeur de

50 francs à l’effigie de l’as, qu’elle tira à près d’un million d’exemplaires.

Son auteur, l’illustrateur et graveur Achille Ouvré (1872­1951), reproduisit l’un des plus célèbres portraits posthumes de Georges Guynemer : celui du peintre J. Cousins Law­rence, qui l’exécuta en 1919.

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

 

 

 

Première page Page précédente Page 4 / 21 Page suivante Dernière page