En réaction à un article de Gérard Bouchu, l’architecte Prioleau revient sur ces travaux et parle d’une amputation tant le projet, avec la mise en place d'un bâtiment "passerelle" pouvait paraître ambitieux mais avait le mérite de laisser autre chose que deux façades à nu.
Aujourd’hui, « ce bouleversement architectural profond qu’est la percée qui semble admis comme normal et définitif » ne l’est plus grâce aux archives. La présentation de ces documents offre une nouvelle perspective pour ce quartier qui est vécu pour l’architecte Prioleau comme un échec dans le traitement du coeur de ville. L’œuvre majeure qu’elle aurait pu être a été amputée. Mais le dossier de Jacques Prioleau permettrait, 42 ans plus tard, de panser ce lieu et d’en faire enfin une vraie rue digne de Dijon.
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